La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1537)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1536) -
Chapitre 11 bis : Lanniversaire de Monsieur Jean
- Où as-tu trouvé cette chienne Edouard ? Regarde-le, il se complet dans la débauche et la perversité sans une once de fierté
- Tu te trompes Sébastien, ne vois-tu pas comme il est fier de Me satisfaire ? Pas une hésitation, aucun embarras, aucune tergiversation, il vient de safficher comme ordonné, sans penser, ni réfléchir en se soumettant strictement à Mes Exigences. Il faut savoir reconnaitre les qualités et les défauts des soumis, savoir les punir lorsquils ont besoin dêtre sanctionnés, mais aussi savoir les récompenser lorsquil y a lieu.
- En tout cas, cest un sale chien ! répliquait le jeune blond répondant au nom de Sébastien
- Un conseil Sébastien, si tu veux devenir un bon Maître, soit toujours mesuré et juste. On ne domine pas en méprisant, on domine avec autorité naturel. Met de côté tes pulsions malsaines de méchanceté insultante et met en avant tes pulsions de Dominateur affirmé, juste. Quand tu domines, mon cher Sébastien, tu dois toujours savoir où tu veux emmener ton soumis, dans quelles perversités, savoir ce que tu dois en faire sans lui exprimer du mépris, mais plutôt de lexigence, de lintransigeance. Dominer est un Art, ce nest pas lexpression de ses propres défauts. Tu peux humilier autant que tu le veux mais jamais avec méchanceté, mais plutôt toujours avec perversité, souvient-toi en toujours, Sébastien
- Cest vrai ce que vous dites mon Cher Edouard !, reprenait Madame Alice.
A ma grande satisfaction, Monsieur le Marquis venait gentiment mais surement de recadrer le jeune Sébastien... Je remarquais la moue sur le visage du jeune homme ! Mais plus encore, jaffichais sur le mien une certaine béatitude, jétais tellement heureux du contentement du Maitre que jen oubliais ma posture dégradante.
- Lèche-moi le cul !, mordonnait-il
Sans doute de satisfaction, il émettait des bruits bizarres et agitait son fessier davant en arrière pour que ma langue en dessous travaille au mieux la vallée soyeuse, capiteuse mais aussi goûteuse, située entre coccyx et périnée. Il se soulevait de temps à autre afin que je puisse reprendre mon souffle. Ma langue sappliquait à lui donner du plaisir, hormis lorsque les deux doigts logés dans mon cul se retiraient pour être aussitôt remplacés par une bite terriblement dure. La préparation anale, bien que longue, navait pas été suffisante, le morceau brulant de chair venait de se caler brutalement au fond de mon rectum dun coup sec. Jen perdais le souffle sous ce fessier colossal ! Pire
ignominie suprême
, un gaz sonore et malodorant séchappait de ce gros anus coller sous mon nez, des doigts, ceux de Madame Alice, me trituraient mes petits tétons, la noble main du Maître me pétrissait les couilles, et toujours cette queue qui me défonçait !
- Lèche mon cul correctement, tai-je ordonné !, ne te préoccupe pas de ce que lon te fait, concentre-toi sur ce que tu me fais, salope !, sexclamait Monsieur Jean.
Mon Dieu dans quelles mains étais-je tombé ? Des ignobles Dominants et des réels pervers ! Pourquoi à cet instant, alors que ma langue simmisçait dans cet anus fétide, je pensais à mes parents ? Avaient-ils idée de ce quils avaient engendré
De là où ils étaient, pouvaient-ils voir que je me réalisais et massumais ainsi ? Je l'espérais
Tout juste venais-je de recevoir plusieurs giclées de foutre chaud sur labdomen alors quon me fessait sans modération, quune seconde pine me pénétrait le cul, celle-là plus courte, certes plus épaisse mais plus courte, celle de Monsieur Jean qui venait de quitter mon visage. Il me fouraillait déjà ! Je me faisais démonter, pistonner, à grands coups de boutoir. Madame Alice me tenait les jambes relevées, alors que Monsieur Jean menculait sauvagement. Il haletait, soufflait, suait, geignait avant de se dégager de mon trou pour empoigner sa queue quil branlait très vite. Il se figeait, retenait son souffle, criait des râles rauques et orgasmiques sous son éjaculation et répandait, par cinq jets violents et saccadés, sa semence chaude sur mon corps endoloris, tout en grognant tel un cerf en rut.
- En levrette salope, dépêche-toi ! A mon tour de te saillir, mordonnait le Maitre
Malgré mon épuisement, très vite je me retournais et prenais dans mon antre humide et dilatée, la noble queue de Monsieur le Marquis. Bien quirrité et quelque peu douloureux, joffrais inconditionnellement mon anus, mempalais sur ce sexe bandé avec empressement et dévouement. Il me laissait aller et venir à ma guise, se contentant de me maintenir par les hanches. Devant les trois autres Dominants me regardant, étonnamment je me sentais à Lui, fier et heureux de le servir, de lhonorer, de Lui donner du plaisir. Au fond de mes entrailles, je sentais cette érection dure comme de la pierre
Au bout dun certain temps, il reprenait les commandes, Lui seul désormais décidait de me saillir selon un rythme beaucoup plus soutenu.
- Tu es un bon vide-couilles.
Je mis mes mains jointes afin de demander lautorisation de parler
- Oui ? Quoi ?
- Merci Maitre, oui je suis un bon vide-couilles, Votre vide-couilles.
- Tiens prends ce papier absorbant et essuie toi !
- Maitre ?
- Quoi encore ?
- Suis-je obligé de messuyer tout de suite Maître ?
- Pourquoi cette question, salope ?
- Si cela mest permis, jaimerai garder un peu de vous tous sur et en moi, Maître, pour montrer que je suis vôtre et que vous pouvez faire de moi tout ce quil vous plaira.
- Autorisation accordée !
- Merci Maître. Puis-je me branler Maître ?
- Non.
Un non laconique, sec, sans appel ! Je nétais pas ici pour jouir mais pour me donner. Je devais donc me résigner et accepter sans protestation, ni révolte cette inéluctable soumission. La frustration faisait partie du dressage, point à la ligne !... Jétais couché en chien de fusil sur cette table basse. Quittant la pièce, ils mavaient laissé seul, là, nu au milieu de ce salon, avec ces bouquets caractéristiques « dafter-sex », ces effluves de sperme, de sueur et de salive. Ces fumets mexcitaient, je bandais, ma queue était terriblement dure, rigide. Et plus je bandais, plus je cogitais et réfléchissais sur mon inévitable devenir de soumis, dont jignorais tout encore !
Seul Sébastien était revenu.
- Tu nes que déshonneur et déchéance ! Ai-je tort, salope ?
- Vous avez raison, Monsieur
- Tu es fait pour vivre lignominie et lavanie !
- Oui Monsieur.
- Regarde comme tu ne ressembles à rien, à poil, nu, à quatre pattes sur une table, ton corps simplement souillé de sperme.
- Je ne considère pas vos spermes comme des souillures, Monsieur.
- Tais-toi chienne !, écarte les cuisses, tu dois toujours garder les cuisses écartées.
Je venais de prendre un gros risque en contredisant mon interlocuteur mais je trouvais cette affirmation réellement stupide ! Tellement idiote que je navais pu me contrôler. Je ne me sentais pas du tout souillé par ces semences déversées sur et en mon corps, au contraire il me semblait avoir été honoré ! Peut-être était-ce même une forme de considération, une marque daffection, sans nul doute une preuve de possession ? Sébastien se relevait subitement sapprochant de moi, lair mauvais. Devais-je mattendre à une belle raclée ? Les propos et conseils de Monsieur le Marquis, tantôt, avaient-ils été retenus dans lesprit du jeune Dominant blond ? Jen doutais fort car lexpression de son visage ne laissait apparaitre que mépris.
- Cambre-toi, jai dit, sale chien !
- Oui Monsieur
- Dis-moi haut et fort que tu es aussi une sale putain, bonne pour le trottoir
- Je suis une sale putain, bonne pour le trottoir, balbutiais-je mes mots
- Plus fort, je nai pas entendu, sale putain
- Je suis une sale putain, bonne pour le trottoir, redis-je cette fois haut et fort
- A se faire enculer toute la journée et à la chaîne, répète
- Je suis une sale putain, bonne pour le trottoir, à se faire enculer toute la journée et à la chaîne
- Aller debout salope, suit moi, nous avons encore beaucoup à faire !
(A suivre
)
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